Le siège de l’UFDG, construit avec le sang et les cotisations du peuple

La Directrice Générale des Élections, censée être gardienne de l’équité électorale, se découvre une vocation de comptable improvisée. Mais puisqu’elle aime les chiffres, allons-y.

L’UFDG en chiffres :

115 fédérations (61 en Guinée, 54 à l’étranger)

11 200 responsables fédéraux

52 400 responsables de sections

400 000 responsables de comités de base

Soit 463 600 cadres rien qu’au niveau structurel.

Maintenant, faisons le calcul que la DGE feint d’ignorer :

Chaque responsable cotise 1 000 francs guinéens par mois. Rien qu’avec ces cadres, cela fait 463 600 000 FG par mois, soit plus de 5,5 milliards FG par an. Et cela sans compter :

Les cotisations désintéressées des militants de base.

L’achat des cartes de membre.

Les contributions exceptionnelles de la diaspora, toujours mobilisée.

Voilà le vrai secret du siège de l’UFDG : le sacrifice populaire, pas le pillage d’État.

Si la DGE doute encore, qu’elle s’informe auprès de l’ancien trésorier de l’UFDG… il siège désormais dans son camp. Il pourra lui expliquer d’où viennent les briques, les fers et les tôles.

Le plus gênant pour eux, c’est quoi ?

Qu’un parti survive et prospère grâce à la générosité de son peuple, pendant qu’eux s’accrochent à la perfusion des caisses publiques.

Alors que la DGE s’occupe des urnes au lieu de s’occuper des briques.

Parce que, que ça leur plaise ou pas : le siège de l’UFDG est debout, et il le restera, comme l’espoir d’un peuple entier.

Alpha Issagha Diallo 

Militant, témoin du réel 

Bouclier du temple


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *